Voici une citation géniale qui croisa mon chemin cette semaine au cours d’une de mes lectures du livre Le Parrain de Mario Puzo (encore Le Parrain, je sais, on ne se refait pas). Pour recadrer la phrase dans son contexte, celle-ci viens s’insérer dans la période ou l’auteur décrit le passé de Vito Corleone. Notamment…