Lire du Nietzsche ?

Avant toute chose, je vous demanderais de ne surtout pas vous échapper et lire attentivement ce mail jusqu’au bout…

…même si le nom que je vais vous citer aujourd’hui peut vous faire fuir :

Nietzsche !!!

Haha, oui ! Aujourd’hui nous allons parler du célèbre philosophe allemand aux somptueuses moustaches.

Par contre, nous n’allons pas parler de sa philosophie, mais d’un mal dont, comme lui, vous êtes peut-être sujet vous aussi.

Nietzsche est un type génial, c’est indéniable et, à l’âge de 19 ans, j’étais très curieux et attiré par sa pensée.

Jeune étudiant, me voilà donc en direction de la Fnac toulousaine pour acheter l’une de ses œuvres phares :

Par-delà le Bien et le Mal.

Pour vous dire, j’avais tellement hâte de commencer cette œuvre que je me rappelle avec exactitude du moment d’excitation et d’impatience au moment d’ouvrir puis lire la première page :

C’était en septembre 2000 à la gare de Toulouse, il fait chaud, la clim n’existe pas… et pour cause je suis assis dans un vieux train régional datant des années 80 à destination de Bordeaux.

Et pourtant, mon excitation fut aussi à la hauteur de ma frustration quelques mois plus tard :

Je n’ai jamais fini ce livre…

Pire encore, je n’ai JAMAIS dépassé les 50 premières pages.

Quelques années plus tard, j’essayais de lire « Ainsi parlait Zarathoustra »

…et même constat malheureux.

Si je vous parle de cette histoire, ce n’est pas pour rien !

19 ans plus tard et malgré ma connaissance de l’ennéagramme à chaque fois que je croise du regard ce livre dans ma bibliothèque, je me dis :

« Nico, Il faut vraiment que tu fasses l’effort de lire ce pu*** de livre un jour. »

…ce n’est toujours pas fait !

Mais alors, où est le problème avec Nietzsche et surtout en quoi il vous concerne directement ?

Nietzsche était un génie… de plus sa pensée est tellement originale, qu’elle dénotait radicalement avec les conventions de l’époque.

…et pourtant, en discutant avec quelques lecteurs de philosophie, j’ai découvert avec stupeur le même constat :

Je ne connais Personne dans mon entourage qui, après avoir commencé du Nietzsche, est arrivé jusqu’au bout.

Phrases trop longues, trop complexes à lire et plus encore à comprendre.

C’est presque comme si l’auteur avait décidé que ses livres seraient aussi compliqués à lire qu’il est difficile d’écrire son nom.

(qui pour rappel, détient l’exploit inégalé de se composer de 5 consonnes successives)

Et c’est là où je veux en venir avec la lecture de Nietzsche ?

Je suis convaincu que si Nietzsche avait vécu au XXI siècle, il n’aurait jamais percé.

Avec tous les choix que nous avons aujourd’hui, le besoin de rapidité, la surabondance d’information et plus encore une concurrence jamais aussi grande :

Vous devez vous démarquer !

Vous devez vous différencier et, plus encore, capter l’attention et la garder jusqu’au bout.

Pour cela (et contrairement à Nietzsche et son époque) :

La façon dont vous délivrez votre contenu doit être aussi primordiale que la qualité de votre contenu !

Fond et Forme sont les 2 faces d’une pièce qui feront votre véritable fortune !

C’est ce que je fais moi-même et, si vous lisez ce long mail jusqu’ici, c’est que mon approche fonctionne 😉 

Pour y arriver vous aussi, je vous invite FORTEMENT à travailler et maîtriser absolument ces 3 axes :

Votre pédagogie, votre Branding et votre Marketing !

La pédagogie va clairement vous aider à être écouté et compris (je vous l’enseigne dans Connaissances en Or)

Le Branding par le développement de votre identité et votre démarcation avec la masse, vous y aidera encore plus (je vous explique tout cela avec exactitude dans Votre Univers)

…et enfin, un Marketing brillant vous permettra d’enfoncer définitivement le clou… et créer votre empire (et pour ça, vous avez les 23 stratégies)

Je vous laisse donc regarder ces 3 clefs… et quant à moi, je vais re-tenter de lire du Nietzsche, car comme il le disait si bien en 1888 dans « Le Crépuscule des idoles » :

« Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. » 😉