Comment surmonter votre peur de réussir ?

la peur de réussir

« Vous êtes motivé, vous savez que vous avez les capacités de réaliser ce que vous souhaitez. Vous avez lu de nombreux livres sur le sujet, vous commencez à devenir peu à peu un expert, seulement voilà, il reste un petit détail qui freine votre envie d'atteindre votre rêve : Vous êtes encore sur la ligne de départ. »

Peut-être vous êtes-vous reconnu sur ce descriptif… peut-être pas. Toujours est-il, vous avez probablement vécu cette dure réalité où vous n'arrivez pas à réaliser vos projets/rêves alors que vous êtes intimement convaincu que vous pouvez réussir.

On appelle cela : la peur de réussir. Cela peut sembler étonnant mais oui, la peur de réussir existe bien et malheureusement elle est plus fréquente que l'on pourrait le croire.

Voyons donc ensemble de quoi il en retourne.

Pourquoi avons-nous peur de réussir ?

La peur de réussir est généralement liée à la peur du changement.

En effet, si vous réussissez votre projet, quel qu'il soit, il y a de grandes chances pour que les choses évolues. Tout va se bousculer suite à cela, de nouveaux projets arriveront, probablement un nouveau statut social accompagné de nombreuses responsabilités.

Les choses changent et au travers de tout ce mouvement autour de vous, se manifeste la peur de perdre deux choses qui vous sont chères : votre tranquillité et votre sécurité.

Sans changements, sans évolutions, sans sortir de sa zone de confort… les choses restent à leur place… Immobile… C'est l'évidence même ! Nous maîtrisons ainsi l'environnement sécurisant construit autour de nous. Du moins c'est ce que nous pensons…

Dans le cas d'une proche réussite, de nouvelles peurs commencent à se former : « et si je n'avais pas les épaules pour assumer ce qui arrivera une fois le projet finalisé. Et si mes proches n'acceptaient pas ma réussite et mon nouveau statut. Et si je perdais ce que j'ai acquis avec tant de difficultés, tout ça à cause de ce nouveau projet. »

Vous l'aurez donc compris, la peur de réussir n'est pas celle d'atteindre son objectif, mais bien celle d'un avenir que l'on ne maîtrise pas. Au final, c'est un savant mélange entre peur de ne pas maîtriser les choses et manque de confiance en soi.

Le manque de confiance en soi se ressent essentiellement dans l'impression de ne pas arriver à gérer l'avenir. Or, si nous réussissons notre projet, il y a de grandes chances pour que nous ayons les capacités de gérer ce qui viendra par la suite.

Quand la peur de l'échec s'y met

Histoire de compliquer encore plus les choses, pourquoi ne pas rajouter à notre ami son confrère : la peur de l'échec ?

« Je sais que je peux y arriver, j'ai tout pour… normalement c'est bon… Mais si j'échoue malgré tout ».  Et voilà le cocktail gagnant issu d'un savant mélange entre peur de réussir et peur d'échouer.

Ces deux peurs conduisent généralement à stopper net notre projet en cours de route. En arrêtant de nous-même les choses, ce n'est pas comme si nous avions échoué. « Non, non, on contraire ! »

Dans un autre ordre d'idée, ces peurs peuvent également conduire à repousser à l'infini les dates butoirs du projet. S'ensuit une procrastination continue amenant peu à peu à l'abandon total de celui-ci.

« Alors, où en est ton idée géniale dont tu me parlais il y a quelques mois
– ho, finalement j'ai laissé tombé… Je n'ai pas eu le temps… Et puis tu sais, au final, je ne suis pas sûr que ça marchera. »

Surmonter notre peur de réussir

Pour surmonter cela, il est tout d'abord nécessaire d'affronter cette peur de l'échec cachée en nous. Pour cela, il est nécessaire de changer notre conception de l'échec. Il n'y a pas d'échec, juste des essais et, en général, nos échecs sont nos meilleures sources pour apprendre et grandir. Voilà pourquoi l'échec est quelque chose qui ne doit pas être craint.

Évidemment, ce n'est pas si simple à faire et nos émotions reprennent souvent le dessus sur les belles paroles. Cependant, en arrivant à se convaincre de cet état de fait, nous apprenons peu à peu à nous rassurer et ne plus voir l'échec comme une épée de Damoclès prête à tomber sur nous au moindre faux pas.

L'autre peur à surmonter est celle de perdre notre environnement suite à notre réussite et se retrouver dans un contexte que l'on ne maîtrise pas.

Or, s'il y a bien une chose pour laquelle l'espèce humaine est douée, c'est bien sa capacité à s'adapter. D'ailleurs, la peur de se retrouver dans un environnement différent provient de ces peurs primales où nos ancêtres préhistoriques risquaient pour leur vie s'ils se retrouvaient dans un contexte totalement inconnu.

Aujourd'hui, se retrouver dans un environnement inconnu est, en règle générale, beaucoup moins dangereux pour notre vie. Pour exemple, il y a fort à parier que vous arriveriez tant bien que mal à vous débrouiller dans un pays inconnu ou personne ne parle votre langue. Nos ressources sont bien plus grandes que l'on imagine.

Au final c'est tout à fait normal que le changement et l'inconnu soient effrayants. Quoi qu'il arrive, nous ne sommes pas en mesure de prédire ce qu'il risque d'arriver. Cependant, le changement, tout comme l'échec sont de bonnes écoles pour grandir. Il nous apprend à nous connaître, à découvrir de nouvelles choses pour au final nous faire évoluer plus que jamais.

En conclusion, le plus important est d'apprendre à connaître ses peurs, que ce soit la peur de la réussite, de l'échec ou tout autre chose : Connaître son ennemi pour mieux le vaincre. Vous savez maintenant comment faire face à ces peurs lorsqu'elles se présenteront à vous, le plus difficile maintenant est d'apprendre à les dépasser. Cependant, en ayant conscience de leur existence, la moitié du chemin est déjà fait 😉

Sur ce, je vous souhaite une belle journée et surtout : n'oubliez pas d'être Aware 😉

À bientôt.
N.

Crédit photo : ia7mad

33 comments

  1. Merci pour cet article. Je n’ai jamais eu la peur de la réussite, bien au contraire !
    La peur de l’échec, ça oui ! Mais je l’ai mis de côté pour être plus tranquille ^^

  2. Merci Nicolas ! Comme d’habitude, tu as l’art de présenter les choses simplement et clairement… de quoi ôter toute peur de se lancer. 😉

  3. Merci Jean-Philippe. Je reste intimement convaincu que ce sont les choses les plus simples qui sont les plus efficaces.
    Et puis, pourquoi se compliquer la vie inutilement 😀

  4. C’est bien beau de dire “Il n’y a pas d’échec, juste des essais”, mais si tu dis ça à une personne angoissée à l’idée de changer quelque chose dans sa vie ça ne va pas la rassurer, au contraire elle va penser que tu ne réalises pas du tout l’ampleur du danger et ça va l’inquiéter encore plus.
    Dans ces cas-là ce que je recommande c’est de rationnaliser sa peur, se dire clairement “quels sont les risques si je prends cette décision ?”, d’envisager le pire, dans la plupart des cas on réalise que ce n’est pas si grave que ça et si on risque gros dans ce cas il faut trouver un moyen de diminuer ce risque.
    Même si je suis partisan des changements radicaux, une autre manière pour commencer c’est la méthode des “baby steps”, prendre un premier risque, puis un autre et ainsi de suite jusqu’à devenir plus confortable avec la prise de risque dans sa vie et tenter de plus grands changements.

  5. Merci pour cet article Nicolas.
    J’ai beaucoup de difficultés pour franchir les peurs dont tu parles clairement. Pour me motiver je pense souvent à une maxime qui vient de l’Europe de l’est 😉
    >> “On ne franchit pas un précipice en deux bonds”

  6. Bonjour Nicolas ,
    Je trouve cet article très bien écrit et clair ! Cet article peut aider certaines personnes à vaincre leurs peurs ( les angoisses , c’est autre chose )
    Le conseil que j’ai toujours donné aux personnes qui hésitaient à se lancer dans un nouveau projet, une nouvelle aventure, Même un simple déménagement ( hé oui 🙂 ) c’est le système de la feuille Trois colonnes : A gauche , Ce qui nous dérange actuellement ,au milieu ce qu’on aimerait réellement, à droite, ce que nous apporterait ce changement.( On met un + dans la colonne de droite à chaque point positif )
    Ensuite on fait la synthèse des résultats ( des + ) et …Surprenant , on se rend compte si nous sommes prêts à évoluer, à changer certaines choses , comme par exemple gagner moins d’argent pour gagner en qualité de vie 🙂 etc …
    Les peurs s’estompent, nous avons l’impression d’avoir fait un bilan !
    J’ai eu l’idée de ce système, il y a 12 ans et je l’utilise encore avant de prendre de grandes décisions dans mon job et …dans ma vie privées … Mais …Chut 🙂
    A bientôt de te lire
    Bien à toi, Lola .

  7. Bonjour Nicolas,
    Merci pour ton très bon article.
    A la peur de réussir et à la peur de l’échec, j’aurai envie de rajouter la peur d’être déçu. En effet, je m’aperçois que pas mal de personnes (et moi aussi sans doute un peu) ont peur que leur rêve, leur projet ne soit pas aussi beau en vrai que dans leur imagination. C’est certainement lié au perfectionnisme et donc, là, il y a toute une éducation à faire sur l’importance et la valeur des petites choses…

  8. Je me reconnais beaucoup dans ce texte. En fait j’ai l’habitude de dire : je m’étais préparé a l’idée de réussir pour a peu près aux alentours de 55 ans !
    Tu sais ces idées merveilleuses que la société plus quelques adultes bien avises sont presses de mettre dans des cerveaux pas tout a fait prêt. Et j’ai donc était surpris par la vitesse a laquelle je les ai fait mentir.
    En fait surpris au point de me surprendre en train de saboter ma propre réussite. Le conseil que je donne justement c’est d’en permanence vérifier si on est toujours en accord avec nos objectifs principaux. Perso Tony Robbins est d’une aide extrêmement précieuse pour comprendre certains schémas de pensée complexe comme ici “la peur de réussir”
    Un grand texte Nicolas. Merci 😀
    Mohamed Semeunacte

  9. Merci à tous pour vos commentaires et mille excuses pour le temps de réponse un peu plus long qu’à l’habitude.
    @Aurélien : Je pense que tu n’as tout à fait saisi le véritable sens de cette phrase, du coup je t’invite à regarder l’article qui y est lié.
    @Guillaume : Hello, merci beaucoup pour la citation, je ne la connaissais pas, mais c’est vrai qu’elle fait réfléchir. Dans le même esprit, j’aime également beaucoup l’expression « Brûler ses vaisseaux ».

    @Fadhila :
    C’est tout à fait vrai, de plus c’est tellement grisant d’affronter et vaincre ses peurs.
    @Lola : Merci beaucoup de partager avec nous cet excellent conseil. J’essayerai volontier ta méthode si tu me le permets, je suis persuadé qu’elle permettrait d’avoir une vision bien plus concrète et réaliste des choses.
    @Sophie : C’est très bien vue et je suis tout à fait d’accord avec toi sur les liens entre perfectionnisme et peur d’être déçu. Le grand problème des perfectionnistes (dont je fais partie) est qu’ils sont bien trop exigeants, aussi bien avec eux-même qu’avec leur environnement.
    @Mohamed : C’est un excellent conseil. En effet, vérifier régulièrement si l’on ne s’écarte pas trop de nos objectifs est un point fondamental auquel je rajouterais un travail de re-définition régulier de ceux-ci. En effet, parfois on se borne trop sur des objectifs qui ne sont plus en accord avec nos réelles envies ou notre environnement actuel. D’où, leur ré-évaluation régulière.
    Pour en revenir à Tony Robbins, ses conseils valent vraiment de l’or et permettent de franchir bien des obstacles, encore un incontourable en dév perso 🙂

  10. @Rémy : Merci pour ton commentaires et désolé pour l’affichage tardif de celui-ci. Je viens juste de voir qu’Akismet l’avait mis en indésirable. Erreur réparée.

  11. Bonjour Nicolas,
    Merci pour ta réponse rapide 🙂 ( Hai imparato qualche parola in italiano ora ? )
    Oui , essaie ce système de la feuille et en cas …tu me diras …
    Bien à toi
    Bella giornata à te
    Lola

  12. Je pense qu’un voyage longue durée peut aider à acquérir certaines capacités que tu cites, telles que l’adaptation et une plus grande confiance en soi.

  13. Je partage a fond l’idée de peur l,echec et j’aime bien son association a la notion de peur de réussite. J’ai longtemps refusé de me lancer danz certaines choses par simple peur de l’echec, mais tous ces echecs que je n’ai pas eu ont ete autant d’rxperience en moins! Cet article est à relire regulierement ! Merci nicolas

  14. Très honnêtement, ça m’a toujours surpris, cette histoire de “peur de réussir” … Comment on peut avoir peur de réussir ?…
    Avoir peur de se planter, oui. Avoir peur de perdre quelque chose, oui. Avoir peur de décevoir, oui. Avoir peur d’être déçu, oui. Avoir peur du changement, oui. Avoir peur de l’inconnu, oui.
    Mais peur de réussir … Je comprends pas.
    Notez bien que ça n’est pas pour autan que je révolutionne ma vie toutes les semaines !
    Après, comme le dit Aurélien, la philosophie qui consiste à dire « Il n’y a pas d’échec, juste des essais », c’est bien pour initier la réflexion mais ça ne va pas plus loin. Par contre, lister les pour et les contres, rationaliser et imaginer des scénarios pour anticiper, ça aide nettement plus.

  15. @Lola : Si, ho imparato qualche parola, ma c’è ancora molto lavoro prima di parlare bene.
    Bella giornata anche a te 🙂
    @cédric : C’est tout à fait vrai, sortir de sa zone de confort en voyageant permet d’évoluer énormément.
    @Julien : Merci pour le compliment. C’est une belle vision des choses que de voir le refus de se lancer comme “autant d’expériences en moins”. J’aime beaucoup cette philosophie 🙂
    @Grégory : Oui, je suis entièrement d’accord « il n’y a pas d’échec, juste des essais » n’est qu’un début de réflexion. Je n’ai malheureusement pas pu développer plus, car ce n’était pas le sujet, de plus l’article étant assez long, je ne souhaitais pas en ajouter plus. Toujours est-il, vos commentaires sont très encourageant pour prologer cette réflection, probablement sur un prochain article 🙂

  16. Il y a dans la peur de réussir une composante qui n’a pas été abordée et qui pourtant peut bloquer: la peur d’obtenir des choses que l’on pense ne pas mériter. Un environnement familial toxique qui dévalorise tout le temps l’enfant ou simplement les répétitions de la société du genre “ne rêve pas trop, c’est trop dur à faire” etc, font rentrer dans l’esprit “je suis une petite chose médiocre, donc logiquement je ne mérite pas ces choses trop belles, trop grandes”. Après l’esprit suit cette logique et sabote tout pour confirmer le propos, par exemple en procrastinant.

  17. Merci Gossypium pour ton commentaire.
    Effectivement, c’est une très fine analyse à laquelle je n’avais pas pensé.
    Il est clair que la notion de “mérite” peut souvent se présenter comme frein. C’est clairement un facteur provoquant la “peur de réussir”.
    Merci encore pour cet apport intéressant d’information.

  18. L’article est très bien écrit : bravo Nicolas !
    En plus, j’ai compris comment certaines personnes pouvaient avoir “peur de réussir”. J’ai été parfois (souvent) pétrifiée par la peur de l’échec, mais la peur de réussir était un concept mystérieux pour moi jusqu’à aujourd’hui.

  19. Merci Monalisa,
    Ton commentaire me réjouit en me disant que j’ai réussi ma mission de démystification de ce terme 🙂

  20. Ping : L'initiative
  21. Merci pour ce magnifique post.
    Beaucoup de changement dans ma vie et peur d’échouer…
    Vos indications vont m’aider. C’est certain !

  22. Merci Mr pour cet article, pour votre ouvrage également “Objectif Lune” que je conseillerai à ceux comme moi pommés dans leurs projets 😉 je pense me reconnaître dans cette peur de réussir, lié à la peur du changement, la nécessité par là-même de quitter notre zone de confort (amplifié notamment par tout souvenir de passé tumultueux d’avant confort ! Freiné par l’impression qu’on se fait du changement et la peur liée).
    Comme disait Larochefoucault :
    Ce ne sont pas les choses qui nous troublent, mais nos opinions”
    Certes il y a une irréversibilité dans le changement, dans les actions. Mais j’apprends en partie grâce à vous à orienter ma réflexion de manière plus optimiste, en me disant que le gain en expérience et en “débrouillardise” vaut bien le coup du changement. et dans la majorité des cas, on y gagne en capacité d’adaptation et en accomplissement personnel, qui est un point clé pour bien “se gérer”.
    Merci donc à vous
    Jonathan

  23. Merci beaucoup Jonathan, je suis vraiment heureux de savoir qu’Objectif Lune ait pu vous aider.
    À ce propos, je prépare justement une bonne surprise à tous ceux qui ont acheté ce livre. Rendez-vous dans quelques jours 😉

  24. Bonjour,
    je me permets de vous ecrire car je suis totalement dans cette situation. J’ai souvent voulu avancer dans ma vie, et a chaque fois connu la reussite. Nouveau travail, demenagement, ouverture d’un restaurant, Presidence d’une association, creation d’entreprise, reprise d’etudes… A chaque fois, Bingo, le meme schema: Reussite et montee en fleche, notoriete, reconnaissance, puis…
    Un jour pour une raison quelconque, un mail, une parole de travers, un courrier, un probleme et Hop… J’arrete tout, l’angoisse monte, je lache tout, je commence a rentrer dans la procrastination, et c’est la spirale infernale…
    L’angoisse monte, la colere, le stress…
    Le pire c’est que maintenant j’en ai conscience et je vois ce qui se passe comme dans un theatre, mais je suis completement immobilise par la peur, j’essaye le sport, la detente, la marche… Mais des que je suis au boulot, ya plus personne juste l’envie de jeter l’eponge…
    C’est vraiment pathologique pour moi aujourd’hui. Je suis entrain de ruiner ma vie.
    Le plus drole c’est que vu de l’exterieur tout le monde me voit fort, intelligent, chanceux, courageux…
    Et moi je ne vois que le contraire…
    J’ai vraiment besoin d’un coup de pouce, j’avoue que je suis en craquage sur ce coup la.
    Pourtant je suis sur un poste passionant, et je pourrais etre le plus heureux, mais pourtant apres la reussite de mon dernier evenement (c’est mon travail) je n’ai vu que les rates, et depuis je m’enfonce dans une grosse crise d’angoisse.
    Honnetement, j’ai besoin d’un gros gros coup de main,de baguette magique, d’aide.
    J’espere que vous ne trouverez pas ce message trop arrogant, face a des personnes qui peuvent avoir des problemes plus “concrets” (sante, perte d’emploi…) Mais la je crois que c’est vraiment “psy” chez moi.
    Merci d’avance.
    PS: Desole pour les accents je suis sur un clavier etranger.

    1. Bonjour Thierry,
      Je comprends tout à fait votre problématique et rassurez-vous, déjà, si vous en avez conscience, c’est que vous avez fait le plus dur.
      Ces peurs sont tout à fait normales. Dans un premier temps, je vous conseille de travailler sur l’image que vous avez de vous même, c’est peut-être ici que se trouve la solution. De même, essayez progressivement d’accueillir les succès que vous avez réalisé jusqu’à présent comme de Vraies réussites (et ce, sans pression sur les résultats et défis à venir).
      Le doute est un sacré ennemi auquel nous sommes tous confrontés, voilà pourquoi je vous invite à vous raccrocher sur tout ce qui vous permettra de défaire se vil ennemi.
      Bon courage à vous, vous êtes sur la bonne voie 😉

  25. Bonjour, je souhaite vivement m’installer à mon compte en tant que réflexologue facial par les cristaux. J’ai enfin trouvé ma voie dans le domaine qui touche au bien être en general ( massages, aromathérapie, sophrologie, conseils diététiques…). Actuellement au chômage depuis quelques moi, j’ai peur de me lancer et surtout je ne sais pas par ou commencer (demarche administrative, comment se faire connaitre etc… et j’ai surtout peur de l’echec. j’attends vivement vos conseils pour me permettre d’avance dans mon projet. Merci de vos précieux conseils. Annie Ciaffoloni

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